Dans le monde entier, y a un virus
-
Dans le monde entier, y a un virus
Il est impossible de savoir :
En terrasse, il y a le virus,
Mais dans la rue, là y a pas le virus...
Aïe, aïe, aïe !!!
Atchoum !!!
Aïe, aïe, aïe !!! -
Dans les trains, il y a le virus,
Mais dans le métro, là y a pas le virus,
Dans les restos, il y a le virus,
Mais au bureau, là y a pas le virus...
Aïe, aïe, aïe !!!
Atchoum !!!
Aïe !!! -
Les soignants, ils ont le virus,
Les enseignants, eux n'ont pas le virus,
Les pompiers, ils ont le virus,
La police, elle n'a pas le virus...
Aïe, aïe, aïe !!!
Atchoum !!!
Aïe, aïe, aïe !!! -
Dans le monde entier, y a un virus,
Qui a rendu fous les hommes de pouvoir :
Dans leur tête, il y a le virus,
Dans leur slip, il y a le virus...
Aïe, aïe, aïe !!!
Atchoum !!!
Aïe !!! -
Dans leur projet, il y a le virus,
Dans leur morve, il y a le virus,
Dans leur bla-bla, il y a le virus,
Dans leur virus, il y a le virus...
Aïe, aïe, aïe !!!
Atchoum !!!
Aïe, aïe, aïe !!! -
Si tu vas bien, c'est que tu auras le virus,
Si tu es malade, c'est que tu as le virus,
Si tu es mort, ben... c'est que tu avais le virus...
Et sans le passeport, là c'est TOI le virus !...
Aïe, aïe, aïe !!!
Atchoum !!!
Aïe !!!
Mémé est morte seule mais en bonne santé
-
C'était un soir le printemps dernier,
J'étais sur le point d'aller me coucher,
Je finissais de ranger tout mon bazar dans l'atelier,
Quand mon portable se mit à vibrer. -
L'autre soir, Mémé a disparu,
Trois semaines qu'on ne l'avait pas revue,
Avec toutes ces normes sanitaires, mais les soignants nous ont rassurés :
Elle est morte seule mais en bonne santé. -
Au téléphone, on lui parlait,
Elle, voulait nous voir, nous toucher,
Mais « plus de visite, tu comprends Mémé, c'est pour te protéger »,
Elle, elle croyait qu'on l'oubliait. -
L'autre soir, Mémé elle s'est lassée,
Trois semaines qu'elle nous réclamait,
Avec toutes ces normes sanitaires, mais les soignants nous ont rassurés :
Elle est morte seule mais en bonne santé. -
On n'a pas eu besoin de la piquer,
Une chance, elle a pu échapper
A la petite dose de Rivotril qu'on lui avait préparée,
C'est le seul traitement autorisé. -
Elle aurait voulu voir Monsieur le curé,
Une dernière fois, avant d'être rappelée
Mais fallait même pas y songer, quand tu es sur le point de trépasser :
Faut pas jouer avec ta santé. -
L'autre soir, Mémé nous a quittés,
Même pas pu aller l'embrasser,
Avec toutes ces normes sanitaires, mais les soignants nous ont rassurés :
Elle est morte seule mais en bonne santé. -
J'espère qu'elle nous a pardonné,
Qu'il y eût personne à son chevet,
Partie pour le très long voyage, elle n'était même pas accompagnée,
A l'heure du dernier baiser. -
J'ai bien tenté de leur expliquer,
Aux agents qui nous ont arrêtés
Mais ils n'ont rien voulu entendre, ils ne nous ont pas laissés passer
Redire à Mémé qu'on l'aimait. -
L'autre soir, Mémé a décollé,
Comme une grande, elle a pris son billet,
Avec toutes ces normes sanitaires, mais les soignants nous ont rassurés :
Elle est morte seule mais en bonne santé. -
Mémé quand elle s'est endormie,
J'espère enfin qu'elle a souri,
Même morte on ne pouvait pas la voir, avec Saint Pierre on ne veut pas de souci :
Faut pas de virus au Paradis. -
Puis on a voulu l'enterrer,
Grand cimetière, mais petit comité,
Pourtant tout le monde au village, voulait venir assister,
Le dernier hommage faisait pitié. -
L'autre soir, Mémé s'est envolée,
Rejoindre Pépé qui l'attendait,
Avec toutes ces normes sanitaires, mais les soignants nous ont rassurés :
Elle est morte seule mais en bonne santé. -
Maintenant Mémé est délivrée,
Nous... On continue de s'accrocher
Avec toutes ces normes sanitaires, si on ne finit pas par se réveiller,
On mourra seul mais en bonne santé.
Le vacciné des Lilas
-
Je suis le vacciné des Lilas
Je parle plus à mes voisins depuis des mois
Je suis devenu protocolaire
Vide sanitaire !
Toutes façons ils m'intéressent pas
Ils ne roulent même pas en Tesla (ha ha !) -
Je suis accro de la vaccination
J'ai fait piquer tout le monde à la maison
La femme, les gosses, faut plus qu'ils bougent
Et le poisson rouge
Il a intérêt d'être à jour
S'il veut sa place dans le séjour ! -
Je me suis laissé impressionner
Par les chiffres du covid qu'on assénait
On ne mourait plus d'autre chose
Que de sinistrose
Tous les soirs devant la télé
Rabbi Salomon venait danser ! -
Tous invités au bal masqué
Qu'on finit, qu'on ne finit plus de confiner
Allez ! Vaccin obligatoire
Faites pas d'histoires
Silence sur les effets secondaires
Secret défense on est en guerre ! -
Moi pour aller au cinéma
J'ai pris mon passe culture chez Moderna
Abonnement spécial découverte
Plein de doses offertes
En attendant le résultat
Des tests qu'en sont qu'à la phase 3 -
L'immunité c'est dépassé
Maintenant on fait mieux avec la 5G
Plus besoin de zinc, de vitamines
Ni de chloroquine
Un petit trou de plus pour mettre la puce
La puce diffuse l'anti-virus ! -
Par le petit trou on m'a implanté
Tout un tas de nouvelles fonctionnalités
Le téléphone, la carte bancaire
Les clés de portière
Mais c'est toute mon humanité
Qui par le petit trou s'est envolée !
[Refrain]
Je veux des trous, des petits trous,
Encore des petits trous
Des petits trous, des petits trous,
Toujours des petits trous
Des trous à l'épaule
Dès l'âge de l'école
Je veux des trous, des petits trous,
Encore des petits trous
Des petits trous, des petits trous,
Toujours des petits trous
Des petits trous partout dans le cou
Façon vaudou, des petits trous !
[Refrain]
Je veux des trous, des petits trous,
Encore des petits trous
Des petits trous, des petits trous,
Toujours des petits trous
Avec moi pas de blague
Des trous à chaque vague
Je veux des trous, des petits trous,
Encore des petits trous
Des petits trous, des petits trous,
Toujours des petits trous
Des petits trous partout dans le cou
Façon vaudou, des petits trous !
[Refrain]
Moi je voulais des petits trous,
Encore des petits trous
Des petits trous, des petits trous,
Toujours des petits trous
Ils m'ont rendu dingue
Avec leurs seringues
Et leurs trous, leurs petits trous,
Encore leurs petits trous
Leurs petits trous, leurs petits trous,
Toujours leurs petits trous
[Final]
Et je finirai bête comme un chou
Mort pour des clous
A coup de petits trous
Dans un grand trou
Sous le tas de cailloux
Près du hibou
Maudits petits trous !
Un mouton heureux
-
Pourquoi les gens qui manifestent
Sont-ils toujours les mêmes ?
Tous les samedis aprèm'
On tombe sur eux,
les mêmes slogans douteux
Défilent devant nos yeux. -
Pourquoi les gens qui manifestent
Reviennent-ils chaque semaine ?
Face à leur même rengaine
Ben y a rien à dire,
y a rien à faire pour eux
S'ils refusent le système. -
Pourquoi les gens qui manifestent
Sont-ils aussi rebelles ?
Ils rêvent d'un monde à eux
Où rien n'oblige
à se conformer à ceux
Qui imposent leur modèle. -
Pourquoi les gens qui manifestent
Se donnent-ils tant de peine ?...
Ils sont quand ils s'en viennent,
Si peu nombreux,
tout juste quelques centaine
A ce qu'on dit à l'antenne...
[Refrain]
Et moi je te connais à peine
Mais ce serait une veine
Que tu ne penses pas comme eux
On pourrait se faire sans que ça gène un resto à deux
Mais si tu n'as pas ton passe,
que tu es anti-vax,
Il faut me le dire au fond des yeux
Malgré le risque que ça entraîne,
Une dose et puis deux :
Je veux être un mouton heureux.
[Refrain]
Et moi je te connais à peine
Mais ce serait une veine
Que tu ne penses pas comme eux
On pourrait jouer avec nos gène un vaccin à deux
Mais si tu n'as pas ton passe,
que tu es anti-vax,
Il faut me le dire au fond des yeux
Malgré le risque que ça entraîne,
Trois doses si c'est mieux :
Je veux être un mouton heureux.
Je veux être un mouton heureux.
Je veux être un mouton heureux.
Le Loir-et-Cher antivax
-
Ma famille habite en région parisienne,
Ces gens font tout un tas de manières.
Ils passent leur automne dans les vaccinodrôme
A chaque nouveau variant sur terre.
Je n'ai jamais eu grand-chose à leur dire,
Ils me prennent la tête depuis toujours,
Et avec leur phobie sanitaire,
Je regretterai vite mon Loir-et-Cher !
Ils me disent, ils me disent :
Tu vis sans jamais te faire une toile ou un resto !
Ils me disent :
Tu ne peux plus vivre sans la vaccination...
Tu ne peux plus rien faire comme nous...
-
Chaque fois que j' m'arrête en région parisienne,
Ils finissent par me jeter de chez eux.
Je leur dit que ça tombe bien, que je dois partir d'ici
Si je ne veux pas finir comme eux.
Je leur conseile d'avoir le numéro de l'ambulance,
D'appeler en cas d'effets secondaires.
Moi je viendrai les voir aux urgences
S'ils ne vont pas direct au cimetière.
Ils me disent, ils me disent :
Tu vis sans jamais te faire une toile ou un resto !
Ils me disent :
Tu ne peux plus vivre sans la vaccination...
Tu ne peux plus rien faire comme nous...
[Refrain]
On dirait que ça te gêne toutes ces doses comme nous,
On dirait que ça te gêne de ne jamais voir le bout.
On dirait que ça te gêne toutes ces doses comme nous,
On dirait que ça te gêne de ne jamais voir le bout.
[Refrain]
On dirait que ça te gêne le vaccin comme nous,
On dirait que ça te gêne les effets après coup.
On dirait que ça te gêne le vaccin comme nous,
On dirait que ça te gêne les effets après coup.
L'équipe à Jeannot
-
Manu rêvait de la lune,
Brigitte lui faisait des tricots
Marqués « E-M » dans le dos.
Olivier en tribune
Réclamait des sous pour les soins,
Agnès ne faisait rien. On a pris toutes les unes,
Pour imposer dans les journaux
La tête du petit nouveau.
On a braqué les urnes,
Bon plan pour l'équipe à Jeannot ! -
On leur mettait une prune
S'ils sortaient sans bien attester
De s'être autorisés,
Et même seuls dans les dunes
On leur imposait de bien garder
Leur masque sur le nez. On ne lâchait pas une thune
Pour leur système hospitalier
Qui aurait pu les soigner,
Mais pour toute une fortune,
On les a tous fait vacciner. -
Manu ne fait plus les unes,
Brigitte sucre les fraises du gâteau
Offert par les labos.
Olivier en tribune,
Ne réclame plus de sous pour les soins
Agnès pleure pour un rien. J'ai retrouvé mes lunettes
Et j'ai gardé comme un cadeau
Cet air qui me tient chaud,
Ma petite chansonnette,
Celle de l'équipe à Jeannot.
[Refrain]
On a lancé le passe sanitaire
Et tout le monde suivait,
On se donnait des airs de gens qui savaient,
Il n'y avait jamais un mensonge trop gros
Dans l'équipe à Jeannot !
On se faisait des conseils de guerre
Avec les copains,
On décidait de tout
Sans rendre compte de rien !
Qu'est-ce qu'on était fous !
Qu'est-ce qu'on s'en foutait !
Qu'est-ce qu'on était bien !
[Refrain]
On disait tout et son contraire
Pour les embrouiller,
Tous les réfractaires, on les faisait virer,
Il n'y avait jamais un coup bas de trop
Dans l'équipe à Jeannot !
On racontait un tas de bobards
Pour les effrayer,
Le plus drôle dans l'histoire,
C'est qu'ils y croyaient !
Qu'est-ce qu'on était fous !
Qu'est-ce qu'on s'en foutait !
Qu'est-ce qu'on était bien !
[Refrain]
On sonnait le tocsin sanitaire
Et tout le monde courrait
Dans les dispensaires pour se faire piquer,
Pfeizer était fier de l'excellent boulot
De l'équipe à Jeannot !
Et pour ce qui est des effets secondaires,
ça ils verront bien,
Qu'est-ce que ça peut faire,
Nous on sera loin !
Qu'est-ce qu'ils était fous !
Qu'est-ce qu'on s'est marrés !
Qu'est-ce qu'on s'en tire bien !
La Marche rennaise
-
En passant dans les rues de Rennes avec nos panneaux (bis)
On vient crier notre colère
Contre le passe sanitaire !
Ho ho ho ! Avec nos panneaux ! -
On ne veut pas de passe sanitaire ni de numéro (bis)
Ni de filature policière
En terrasse pour boire une bière !
Ho ho ho ! Ni de numéro ! -
Nous ne sommes ni du bétail, ni des tourtereaux (bis)
Ni des moutons bien dociles
Qu'on pourrait baguer tranquille !
Ho ho ho ! Ni des tourtereaux ! -
Tu dis que tu n'aimes pas la France à tous les micros (bis)
Le pays de ton enfance
C'est la Banque et la Finance !
Ho ho ho ! A tous les micros ! -
Pour toi les gens dans les gares sont tous des zéros (bis)
Ceux qui ne vol' pas en première,
Dans tes sphères financières !
Oh oh oh ! Sont tous des zéros ! -
Tu penses qu'on ne sait pas lire, qu'on est des poivrots (bis)
C'est vrai qu'en te donnant nos votes,
On a manqué de jugeote !
Oh oh oh ! Qu'on est des poivrots ! -
Tu crois qu'au trottoir d'en face, on trouv' du boulot (bis)
Toi tu trouves quand tu te déplaces,
Une tarte Tatin à la place !
Oh oh oh ! On trouv' du boulot ! -
T'estimes qu'on n'a pas de culture, qu'on croit aux complots (bis)
Ton mépris insupportable
Te rend toi-même détestable !
Oh oh oh ! Qu'on croit aux complots ! -
Tous les Gaulois réfractaires t'ont dans le museau (bis)
Gergovie coule dans leurs veines,
Tu vas manger de l'Arverne !
Oh oh oh ! T'ont dans le museau ! -
T'as voulu nous faire la guerre, tuer nos restos (bis)
T'as soulevé la France entière,
Tu devras faire marche arrière !
Ho ho ho ! Tuer nos restos ! -
T'arrêtes pas de fermer des chambres dans nos hôpitaux (bis)
T'empêches les médecins de prescrire
Ce qui ne rapporte rien à l'Empire !
Ho ho ho ! Dans nos hôpitaux ! -
Big Pharma te tient en laisse avec ses lingots (bis)
C'est sur notre dos qu'elle s'engraisse,
Ses profits ne sont pas en baisse !
Ho ho ho ! Avec ses lingots ! -
Tu signes un blanc-seing coupable à tous les labos (bis)
Ils ne sont pas responsables
Des effets indésirables !
Ho ho ho ! A tous les labos ! -
Tu te trouveras d'autres cobayes, pas touche aux marmots (bis)
On ne te laissera pas, canaille,
Vacciner notre marmaille !
Ho ho ho ! Pas touche aux marmots ! -
Tu prépares le grand reset, à coup de chaos (bis)
Et puis pour payer la dette,
Tu t'en prendras aux retraites !
Ho ho ho ! A coup de chaos ! -
T'auras beau jouer la vedette des réseaux sociaux (bis)
Va vraiment falloir que t'arrêtes,
On n'en peut plus de ta tête !
Ho ho ho ! Des réseaux sociaux ! -
Vous devrez rendre des comptes, toi et tes maquereaux (bis)
De la crise sanitaire
Qui devait tous nous faire taire !
Ho ho ho ! Toi et tes maquereaux ! -
La première vague était jaune contre tes impôts (bis)
La deuxième te fera boire la tasse,
Toi et tes copains de classe !
Ho ho ho ! Contre tes impôts !
[Refrain]
On est là, on est là !
Même si Macron ne veut pas, nous on est là !
Contre le passe sanitaire, on ne les laissera pas faire !
Même si Macron ne veut pas, nous on est là !
[Refrain]
On est là, on est là !
Même si Macron ne veut pas, nous on est là !
Contre le passe sanitaire, on ne les laissera pas faire !
Même si Macron ne veut pas, nous on est là !
[Refrain]
On est là, on est là !
Même si Macron ne veut pas, nous on est là !
Contre le passe sanitaire, on ne les laissera pas faire !
Même si Macron ne veut pas, nous on est là !
[Refrain]
On est là, on est là !
Même si Macron ne veut pas, nous on est là !
Contre le passe sanitaire,
On ne les laissera pas faire !
Même si Macron ne veut pas, nous on est là !
[Refrain]
On est là, on est là !
Même si Macron ne veut pas, nous on est là !
Contre le passe sanitaire, on ne les laissera pas faire !
Même si Macron ne veut pas, nous on est là !
[Refrain]
On est là, on est là !
Même si Macron ne veut pas, nous on est là !
Contre le passe sanitaire, on ne les laissera pas faire !
Même si Macron ne veut pas, nous on est là !
[Refrain]
On est là, on est là !
Même si Macron ne veut pas, nous on est là !
Contre le passe sanitaire, on ne les laissera pas faire !
Même si Macron ne veut pas, nous on est là !
Souvenez-vous
-
Y avait des arbres, il y avait des oiseaux,
La neige étouffait le cri des corbeaux,
C'était tellement gros, on ne pouvait pas croire
Qu'ils nous enfumeraient à ce point dans l'histoire. -
Un virus égaré d'un de leurs labos,
Ils l'ont laissé se répandre dans les hameaux,
Quelle drôle de guerre que cette pandémie,
Ils nous privaient de soins, fermaient nos lits. -
Quelle drôle de guerre que cette pandémie,
Qui n'a servi qu'à asservir nos vies. -
Ils ont mis à pied tous les objecteurs,
Chassés sans ménagement et sans honneur,
C'était les mêmes soignants, les mêmes pompiers,
Que trois mois avant ils applaudissaient. -
Quant à nous autres qui n'étions pas d'accord,
Comme ils ne pouvaient pas nous mettre à mort,
Ils ont dressé contre nous les bonnes gens
Qui croyaient encore à leurs boniments. -
Qui veut tuer son chien lui infuse la rage,
A petit feu en le mettant dans une cage,
Ça se passe comme ça à chaque révolution,
Contre les prétendus ennemis de la nation. -
Aujourd'hui y a des arbres, y a des oiseaux,
On peut les voir à travers nos hublots,
C'était tellement gros, on ne pouvait pas croire
Qu'ils nous feraient gober à ce point leur histoire. -
C'était tellement gros, on ne pouvait pas croire
Que tant d'alouettes se colleraient au miroir.
Souvenez-vous,
Ce qu'ils ont fait de nous,
Ce qu'ils ont fait de nous.
Souvenez-vous,
Ce qu'ils ont fait de nous,
Ce qu'ils ont fait de nous.
Souvenez-vous,
Ce qu'ils ont fait de nous,
Ce qu'ils ont fait de nous.
Souvenez-vous,
Ce qu'ils ont fait de nous,
Ce qu'ils ont fait de nous.
Souvenez-vous,
Ce qu'ils ont fait de nous,
Ce qu'ils ont fait de nous.
Souvenez-vous,
Ce qu'ils ont fait de nous,
Ce qu'ils ont fait de nous.
Souvenez-vous,
Ce qu'ils ont fait de nous,
Ce qu'ils ont fait de nous.
Souvenez-vous,
Ce qu'ils ont fait de nous,
Ce qu'ils ont fait de nous.
Il faut être vacciné
-
Un bon italien, il s'exprime avec les mains
Et un bon anglais, à cinq heures il boit son thé,
Un bon québécois, fabrique sa cabane en bois,
Et pour être un bon français ? Il faut être vacciné !!!
Et c'est comme ça, honni soit qui mal y pense,
Faut souffrir en silence,
Ça sert à quoi de vouloir aller aux urgences,
Quand t'as de l'aspro chez toi ?... -
Trois pourcents de covid, l'hôpital est saturé,
Mais on a trop de lits, faudrait encore en fermer,
Trop de soignants aussi, on va s'en débarrasser,
Pour comprendre le procédé ? Il faut être vacciné !!!
Et c'est comme ça, Jupiter est une planète,
Qui danse au-dessus de nos têtes
Ça sert à quoi de vouloir jouer de la trompette
Quand t'as le masque et le tuba ?... -
Plus il y a de variants, moins le virus est virulent,
Et par conséquent, on l'attrape plus souvent,
C'est pour ça que les gens redeviennent contaminants,
Mais pour le droit de contaminer ? Il faut être vacciné !!!
Et c'est comme ça, les pangolins asthmatiques,
Sont tous de gros lubriques,
Ça sert à quoi de vouloir jouer les comiques
Quand les chauves sourient pas ?... -
Car si les Gaulois ont perdu à Alésia
C'est leur faute tu vois, ils ne se vaccinaient pas,
Même Napoléon s'est trompé sur la question,
De tout temps pour l'emporter ? Il faut être vacciné !!!
Et c'est comme ça, les piles sont alcalines,
Et la purée mousseline,
Ça sert à quoi de vouloir découvrir la Chine,
Quand t'arrives à Cuba ?... -
Si hier il pleuvait, la faute aux non-vaccinés,
L'avion qu'est tombé, c'est encore eux, c'est prouvé,
Toute l'humanité, à cause d'eux est en danger,
Pour avoir le droit d'exister ? Il faut être vacciné !!!
Et c'est comme ça, comme disait ma tante Justine,
Du fond de sa cuisine,
Ça sert à quoi de te lécher les babines,
Quand t'as les pieds dans le plat ?... -
Si t'as pas le vaccin, t'es pour le Maréchal Pétain,
Si t'as pas ton passe, c'est que tu nies les chambres à gaz,
Tu seras sur la liste des saletés de complotistes,
Car pour pouvoir bien penser ? Il faut être vacciné !!!
Et c'est comme ça, à la claire fontaine,
Mironton, Mirontaine,
On t'aurait bien déjà jeté dans la Seine,
Si ça ne polluait pas !...
[Refrain]
On ne peut pas donner le même droit,
Aux vaccinés et à ceux qui ne le sont pas,
On ne peut pas, c'est évident,
Mélanger les gentils et les méchants,
Et réciproquement !
[Refrain]
On ne peut pas donner le même droit,
Aux vaccinés et à ceux qui ne le sont pas,
On ne peut pas, c'est évident,
Mélanger les gentils et les méchants,
Et réciproquement !
[Refrain]
On ne peut pas donner le même droit,
Aux vaccinés et à ceux qui ne le sont pas,
On ne peut pas, c'est évident,
Mélanger les gentils et les méchants,
Et réciproquement !
[Refrain]
On ne peut pas donner le même droit,
Aux vaccinés et à ceux qui ne le sont pas,
On ne peut pas, c'est évident,
Mélanger les gentils et les méchants,
Et réciproquement !
[Refrain]
On ne peut pas donner le même droit,
Aux vaccinés et à ceux qui ne le sont pas,
On ne peut pas, c'est évident,
Mélanger les gentils et les méchants,
Et réciproquement !
[Refrain]
On ne peut pas donner le même droit,
Aux vaccinés et à ceux qui ne le sont pas,
On ne peut pas, c'est évident,
Mélanger les gentils et les méchants,
Et réciproquement !
Je ne veux pas me faire vacciner
-
Le monde vire au roman d'espionnage
Les hommes en blanc me guettent à leur fenêtre
Ils voudraient que je morde à l'hameçon
Oui mais voilà...
Je préfère attendre... -
Vous nous avez fait le coup de la grippe aviaire
Vous n'êtes pas à un scandale ou deux près
Plus rien ne vous arrête dans vos sinistres projets
De grands malades. -
Je ne serai pas votre petit rat
Le jouet de vos expériences
Vos statistiques apocalyptiques
Je ne les goberai jamais... -
Je suis tellement fier de ça
Ma vie dépasse votre science
C'est magnifique et tellement unique
Ce que le Bon Dieu m'a donné !
Je ne veux pas me faire vacciner
Je tiens trop à ma santé
Ne venez donc pas me saôuler
Avec vos doses.
Je ne veux pas me faire vacciner,
Vous ne dites pas la vérité
Je ne crois pas en votre bonté
Derrière vos doses.
Je ne veux pas me faire vacciner,
Non, même pas la peine d'y songer
Je veux seulement exister
Et sans vos doses.
Je ne me ferai pas vacciner,
Ça, vous pouvez vite oublier
Je ne vous laisserai pas me pousser
A l'overdose.
Élysée-gate's song
-
Dans les poulaillers d'acajou,
Les volailles sont au garde-à-vous.
Elles attendent leurs instructions
Du petit perdreau de la nation, qui dit :
« J'ai vu la bête de l'événement,
Il ne nous reste que peu de temps.
J'ai le plan pour des places au bal
De son grand carnaval mondial ! » -
Dans les poulaillers d'acajou,
Les volailles sont au garde-à-vous.
Elles attendent leurs instructions
Du petit perdreau de la nation, qui dit :
« Qui sont ces gaulois réfractaires
Qui regimbent aux règles sanitaires ?
Ces français qui sèment la pagaille
Sont pires que nos gentilles racailles ! » -
Dans les poulaillers d'acajou,
Les volailles sont au garde-à-vous.
Elles attendent leurs instructions
Du petit perdreau de la nation, qui dit :
« Où vont tous ces gens dans les gares
Avec plus rien dans le regard ?
Mais faut qu'ils se cachent aussi le museau,
Je ne supporte plus de voir leurs chicots ! »
Vaccinez-les moi !
Le virus vient
De l'intestin d'un pangolin !
Vaccinez-les moi !
Les chauves-souris
Bouffent des cochonneries toute la nuit.
Vaccinez-les moi !
Nos laboratoires
N'ont rien à voir dans cette histoire !
Vaccinez-les moi !
Ils sont bien fermés,
Le virus n'a pas le double des clés !
Vaccinez-les moi !
On leur dira :
Une seule dose vous suffira !
Vaccinez-les moi !
Si ça ne suffit pas,
On vous en remettra tous les mois !
Vaccinez-les moi !
Tout bien fermé,
Le virus n'a pas le double des clés !
Vaccinez-les moi !
Sauf si, bien-sûr,
Il file par le trou de la serrure !
Vaccinez-les moi !
Qu'il prend l'avion,
En violation de nos instructions.
Vaccinez-les moi !
On serre la vis
Faut bien occuper la police.
Vaccinez-les moi !
Ils sont coupables,
On va les priver de châteaux de sable !
Vaccinez-les moi !
Dans la voiture,
Le masque au milieu de la figure.
Vaccinez-les moi !
Et dans le train,
On s'entasse pas sur le même voisin.
Vaccinez-les moi !
Moi, leurs vaccins,
Je les écoule comme des petits pains.
Vaccinez-les moi !
Chez Big Pharma,
Je suis le vendeur du mois tous les mois.
Vaccinez-les moi !
On touche notre part,
Ça met du beurre dans notre caviar.
Vaccinez-les moi !
La liberté,
C'est qu'on puisse tous les vacciner.
Vaccinez-les moi !
La pandémie,
Je te la leur collerais pour la vie.
Vaccinez-les moi !
Vaccinez-les moi !
L'immunité,
C'est ce qui sert à pas se faire coincer.
Vaccinez-les moi !
Les poules mouillées
Sont plus faciles à contrôler.
Vaccinez-les moi !
Pour Tchernobyl,
On ne se faisait pas tant de bile.
Vaccinez-les moi !
J'attendrai
-
J'attendrai
Hors de la pharmacie
J'attendrai toujours
Que vienne mon tour
J'attendrai
Suffit plus de nos jours
d'être en bonne santé
Faut le prouver
Dans le fond de la cour
J'attends là, tristement
Tout devient si lourd
Le bout de papier périmé
Dans trois jours. -
J'attendrai
Comme tous les lundis
J'attendrai toujours
Que vienne mon tour
J'attendrai
Les pigeons qui s'enfuient
sont mes seuls amis
Aujourd'hui
Je vais être à la bourre
Je peux pas faire autrement
Faut mon droit de séjour
Comme toujours, à renouveler
Dans trois jours. -
J'attendrai
Tout seul sous la pluie
J'attendrai toujours
Que vienne mon tour
J'attendrai
Mais j'ai peur qu'ils m'oublient
dans la pharmacie
A l'abri
J'ai pas le droit d'rentrer
Je dois pas contaminer
Les gens vaccinés
Comme toujours, je reviendrai
Dans trois jours. -
J'essaierai
De me faire rembourser
Le curage de nez
En retour
J'essaierai
Mais je connais par avance
tout le résumé
De leur discours
Sur la pandémie
Qui a tout tué y compris
Les autres maladies
Comme toujours, je repasserai
Dans trois jours.
Vote suivant
-
Aujourd'hui c'est Grand' Messe, comme tous les cinq ans,
La gueuse en grande prêtresse appelle ses servants :
-
Invoquant les auspices de la déesse raison
Elle offre en sacrifice le destin de la nation.
-
Et les cérémoniaires recoivent les chèques en blanc
Cadeau de l'anniversaire qu'on fête au Léviathan.
-
La loge déclare ouverte la sournoise élection
D'un loup briguant la tête du troupeau des moutons.
-
Consultation plénière, tous partent en procession
Remplir l'urne funéraire de leurs belles illusions.
-
Aux bureaux voila qu'ils se pressent donner leur consentement
C'est là toute la finesse du libre asservissement.
-
Là se tient Monsieur le Maire, il a l'air si content :
« Aux élections dernières, y avait pas autant de gens ! »
-
La cocarde à la veste il savoure ce moment
Où le bon peuple manifeste son servile dévouement.
-
Signe que la propagande sauvera encore une fois
La caste et ses prébendes qu'elle usurpa aux rois.
-
Et à chaque échéance, nous, on vote en se disant
Qu'un jour viendra notre chance, qu'on peut pas perdre tout le temps…
-
Et on remonte sur le manège, repeint pour l'occasion
Qu'importe si c'est un piège, qu'importe s'il tourne en rond !
-
Sortilège à sornettes où charmeurs et serpents
Tiennent le coq par la crête, le vident de son sang.
-
Ma patrie, ma pauvre mère, on muselle tes enfants
Et toi, on te fait taire, à coups de tranquilisants !
-
Quand se lèvera-t-il le Prince, de la France au Roi dormant
La délivrer des pinces de tous ces mécréants ?
-
Et eux quoiqu'on en fasse, des bagnards, des pendus,
Ils seront à leur place tant qu'on ne les revoit jamais plus.
« Vote suivant, vote suivant ! »
« Vote suivant, vote suivant ! »
« Vote suivant, vote suivant ! »
« Vote suivant, vote suivant ! »
« Vote suivant, vote suivant ! »
« Vote suivant, vote suivant ! »
« Vote suivant, vote suivant ! »
« Vote suivant, vote suivant ! »
« Vote suivant, vote suivant ! »
« Vote suivant, vote suivant ! »
« Vote suivant, vote suivant ! »
« Vote suivant, vote suivant ! »
« Vote suivant, vote suivant ! »
« Vote suivant, vote suivant ! »
Eux et tous leur « Vote suivant, vote suivant ! »
Qui c'est celui-là ?
-
Je suis un garçon avenant, et j'ai toujours bonne mine,
Et je reste souri-ant en croisant ma voisine
Qui me traite d'inconscient et de fou dangereux,
Car ça inquiète les gens qu'on ne s'inquiète pas comme eux.
Et les voisins disent de moi... -
Je me soigne avec du zinc et plein de vitamines,
Et j'ai en cas de besoin mon stock d'Ivermectine.
Je me porte comme un charme et j'ai l'œil malicieux,
Mais Big Pharma est malade quand on ne prend pas chez eux.
Et Big Pharma dit de moi... -
Je m'informe moi-même et ne paye pas de redevance
Car les infos du système n'ont pas ma confi-ance.
Je n'écoute plus leurs bla-blas et ne m'en porte que mieux,
Mais les médias ne captent pas qu'on peut voir le monde sans eux.
Et les médias disent de moi... -
Tous les samedis je vais aux manifestations,
Pour faire toujours plus de bruit avec mes percussions.
Je me fait un tas d'amis, je vous jure que je suis heureux,
Mais ça fait criser Macron quand on ne joue pas son jeu.
Et Macron il dit de moi... -
Voyant que nos dirigeants n'avaient que de la malice,
Et qu'on ne devait rien attendre de la justice,
Je te les ai inscrits aux vols interplanétaires,
Pour qu'ils aillent mettre leur pagaille ailleurs que sur la terre.
Et sur Mars ils disent de moi...
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a, qui c'est celui-là ?
Il a pas eu ses doses, ce mec-là, il a pas eu les trois !
Va falloir qu'on l'isole, ce type-là !
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a ?
Et puis dans cha bagnole, il met pas
Son masque sur la trogne, les gars !
Ça se passera pas comme ça ! (bis)
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a, qui c'est celui-là ?
Il prépare un sale coup ce mec-là ! Prépare un coup d'état !
On va pas le laicher faire les gars !
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a ?
Non mais cha va pas, mon p'tit gars ?
Il va finir en tôle, ce type-là !
S'il ne se vaccine pas ! (bis)
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a, qui c'est celui-là ?
Quand il va au comptoir, s'assoit pas, boire son pastaga !
Va nous faire des histoires, ce type-là !
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a ?
Y a tout un protocole, qu'est-ce tu crois !
Faudra bien que tu t'y colles, mon p'tit gars !
Cas où tu saurais pas ! (bis)
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a, qui c'est celui-là ?
Il a pas eu ses doses, ce mec-là, il a pas eu les trois !
Va falloir qu'on l'isole, ce type-là !
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a ?
Et puis dans cha bagnole, il met pas
Son masque sur la trogne, les gars !
Ça se passera pas comme ça ! (bis)
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a, qui c'est celui-là ?
Quand il va au comptoir, s'assoit pas, boire son pastaga !
Va nous faire des histoires, ce type-là !
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a ?
Y a tout un protocole, qu'est-ce tu crois !
Faudra bien que tu t'y colles, mon p'tit gars !
Cas où tu saurais pas ! (bis)
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a, qui c'est celui-là ?
Il prépare un sale coup ce mec-là ! Prépare un coup d'état !
On va pas le laicher faire les gars !
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a ?
Non mais cha va pas, mon p'tit gars ?
Il va finir en tôle, ce type-là !
S'il ne se vaccine pas ! (bis)
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a, qui c'est celui-là ?
Il a pas eu ses doses, ce mec-là, il a pas eu les trois !
Va falloir qu'on l'isole, ce type-là !
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a ?
Et puis dans cha bagnole, il met pas
Son masque sur la trogne, les gars !
Ça se passera pas comme ça ! (bis)
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a, qui c'est celui-là ?
Quand il va au comptoir, s'assoit pas, boire son pastaga !
Va nous faire des histoires, ce type-là !
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a ?
Y a tout un protocole, qu'est-ce tu crois !
Faudra bien que tu t'y colles, mon p'tit gars !
Cas où tu saurais pas ! (bis)
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a, qui c'est celui-là ?
Il prépare un sale coup ce mec-là ! Prépare un coup d'état !
On va pas le laicher faire les gars !
Qu'est-ce qu'il fait, qu'est-ce qu'il a ?
Non mais cha va pas, mon p'tit gars ?
Il va finir en tôle, ce type-là !
S'il ne se vaccine pas ! (bis)
La prison de Fresnes-les-Thuyas
-
Quand on sera fatigué
De te voir sourire quand tu nous écrases
Quand on sera fatigué
De t'entendre dire les mêmes phrases
Quand tes mots voleront en éclats
Et que même Gilles Bouleau ne pourra plus rien pour toi
-
Quand on sera fatigué
De plonger dans les brumes de tes rêves
Quand on sera fatigué
De ton projet où tu marches et on crève
Lorsque demain ne t'apportera
Que les cris de froid et de faim d'un peuple aux abois -
Dans cette prison, les détenus
Sont mignons, torse-nu
Ils n'attendent que toi
Ils espèrent que t'auras
Encore un peu de poudre sur toi
Et ils t'emmeneront faire des tours
De karting dans la cour
Juste quand tu claqueras des doigts (bis) -
Quand t'auras tout vendu
Tout détruit, du peu qu'il restait en place
Avant que tu n'aies pu
Sauter dans le premier avion qui passe
On prendra tes ministres avec toi
Et peut-être ta femme
Si elle est encore là
T'iras dormir dans la prison de Fresnes-les-Thuyas
T'iras dormir dans la prison de Fresnes-les-Thuyas
Vous irez dormir dans la prison de Fresnes-les-Thuyas
Dans la prison de Fresnes-les-Thuyas
Le Bagad des vaccinés
-
Tu n' la voyais pas comme ça, ta vie
Pas de mise à pied quand tu étais p'tit
Ton camion rouge, tous tes jeux de gamin
Ils t'ont conduit loin, je sais bien
Enfin réalisé le rêve de ta vie
Et combien de fois pour eux tu l'as risquée cette vie ?
T'imaginais pas la fin de l'histoire
Casque abandonné sur un trottoir
Toute cette psycho-frénésie vaccinale
Pour un virus qu'est devenu banal
Contrats, double-fond de tiroirs, scandales
Sous le tas des victimes collatérales
De la machine commerciale ? -
Tu pensais pas qu'on ferait ça de votre vie
Héros hier, et parias aujourd'hui
Elle n'a pas eu plus de chance aux urgences
lls ont tiré sur l'ambulance
Tu repense aux soirs où on l'applaudissait
Chaque fois que tu entends le bruit de la pluie sur le pavé
Tu ne la comprends pas la fin de l'histoire
Plus le droit de courir dans les couloirs
Ni de foncer tête baissée dans le noir
Arracher à la mort son faire-part
Juste le droit de voir à la télé
Qu'ils préfèreraient tout laisser cramer
Plutôt que de vous rappeler
[Refrain]
Tu pensais pas qu'on te ferait ça, frérot
D'un coup le virus t'a mis K.O.
Tu ne l'as pourtant pas attrapé
C'en est d'autres qui ont sapé le pompier
Adieu sirènes hurlant à l'assaut
C'est plus toi qui y es
C'est plus toi qu'es beau
Casque, visière, hache, lance et tuyaux
C'est plus toi qui y es
C'est plus toi qu'es beau
Bornes-fontaines et montagnes d'eau
C'est plus toi qui y es
C'est plus toi qu'es beau
Camions-échelle fendant le halo
C'est plus toi qui y es
Dans le bagad des vaccinés
[Refrain]
Tu pensais pas qu'on te ferait ça, frérot
D'un coup le virus t'a mis K.O.
Tu ne l'as pourtant pas attrapé
C'en est d'autres qui ont sapé le pompier
Adieu sirènes hurlant à l'assaut
C'est plus toi qui y es
C'est plus toi qu'es beau
Casque, visière, hache, lance et tuyaux
C'est plus toi qui y es
C'est plus toi qu'es beau
Bornes-fontaines et montagnes d'eau
C'est plus toi qui y es
C'est plus toi qu'es beau
Camions-échelle fendant le halo
C'est plus toi qui y es
Dans le bagad des vaccinés
Le blues de l'androcène
-
Je me demanderai toujours
Pourquoi certains jours
Tu as ces bouffées de misandrie chroniques
Ça doit venir sûrement
De la lune ou du mauvais temps -
Je dois alors affronter
Les vents et marées
Du flot de tes humeurs tyranniques
Chérie, je t'en prie, doucement,
Fais gaffe y a le vase de Maman ! -
C'est bon, ça va, je t'assure
Y a pas de quoi faire tout un plat
Est-ce que c'est si grave, tu crois,
Si les hommes ont plus de poils sur le torse que toi ?... -
Quand tu es comme ça je sais
Qu'il vaut mieux te laisser
Débiter tes conn... tes théories
Ah ! Tant que j'y pense, Bébé :
Ton psy te demande de le rappeler
Trésor, s'il te plait,
Pousse-toi de devant la télé
-
C'est bon, ça va, je t'assure
Mes potes n'ont rien contre toi
Au barbecue, s'il n'y a que ça,
On te laissera porter les sacs de charbon de bois -
Mais après tant d'années
Je t'ai enfin cernée
Ce que tu exprimes derrière tes délires
Au fond, c'est que tu as besoin
De plus de fleurs et de câlins
C'est que tu as besoin
De plus de fleurs et de câlins
Cold song
-
Mais pourquoi
a-t-on si froid ?...
On a pourtant brûlé tout un tas
de bougies chauffe-plat... -
Si seulement les prix qui flambent
pouvaient nous réchauffer un peu... -
Qu'est-ce-qu'on lui a mis au Russkoff !
Son économie est à genoux...
Sur la tombe de la nôtre qui est au fond du trou... -
Mais restons bien confiants,
Gardons notre sang froid (pas le choix)
Et surtout pensons printemps ! -
Laisse-moi, laisse-moi, laisse-moi savourer...
Laisse-moi, laisse-moi savourer encore...
Laisse-moi savourer encore notre victoire...
Vieilles canailles
-
Ils rêvaient de la belle vie
Vieilles canailles
Ils rêvaient d'avoir la belle vie
Vieilles canailles
Les petits plats, les beaux couverts
Les doubles parts de dessert
Et puis la cerise sur le gâteau
Vieux chameaux ! -
Ils voulaient avoir notre peau
Vieilles canailles
Oui, Ils voulaient avoir notre peau
Vieilles canailles
Les « Mozart de la finance »
Les « Chopin de la manigance »
Venaient finir le sale boulot
Vieux chameaux ! -
Et pour être plus efficaces
Vieilles canailles
Pour être encore plus efficaces
Vieilles canailles
Ils s'entouraient de conseils
Pour ramasser plus d'oseille
Et mieux nous mettre sur le carreau
Vieux chameaux ! -
Pour faire diversion de leurs crimes
Vieilles canailles
Oui, pour faire diversion leurs crimes
Vieilles canailles
Ils criaient sur tous les toits
Que des blanchisseurs chinois
Auraient empoisonné le puits
Vieux bandits ! -
Pour assurer leurs arrières
Vieilles canailles
Oui, pour assurer leurs arrières
Vieilles canailles
Ils ont fait un trou dans le sol
A grands coups de pelles et de casseroles
Et y ont planqué leur magot
Vieux chameaux ! -
Et ils accélèrent le mouvement
Vieilles canailles
Et ils accélèrent le mouvement
Vieilles canailles
Car la bête de l'événement
Ne leur laisse plus beaucoup de temps
Avant le complet chaos
Vieux chameaux ! -
Ils pensent qu'ils vont s'en tirer
Vieilles canailles
Et ils pensent qu'ils vont s'en tirer
Vieilles canailles
Et qu'ils iront contempler
Notre vieux monde s'écrouler
Depuis l'autre rive du rio
Vieux chameaux ! -
Ils voulaient avoir notre peau
Vieilles canailles
Oui, Ils voulaient avoir notre peau
Vieilles canailles
Mais en fin de compte c'est peut-être eux
Qui devront avancer un peu
La date de leurs funérailles
Vieilles canailles !
Les petits plats, les beaux couverts
Les doubles parts de dessert
Et puis la cerise sur le gâteau
Vieux chameaux !
Les « Mozart de la finance »
Les « Chopin de la manigance »
Venaient finir le sale boulot
Vieux chameaux !
Ils s'entouraient de conseils
Pour ramasser plus d'oseille
Et mieux nous mettre sur le carreau
Vieux chameaux !
Ils criaient sur tous les toits
Que des blanchisseurs chinois
Auraient empoisonné le puits
Vieux bandits !
Ils ont fait un trou dans le sol
A grands coups de pelles et de casseroles
Et y ont planqué leur magot
Vieux chameaux !
Car la bête de l'événement
Ne leur laisse plus beaucoup de temps
Avant le complet chaos
Vieux chameaux !
Et qu'ils iront contempler
Notre vieux monde s'écrouler
Depuis l'autre rive du rio
Vieux chameaux !
Mais en fin de compte c'est peut-être eux
Qui devront avancer un peu
La date de leurs funérailles
Vieilles canailles !
On vote pour ceux qui veulent notre mort
-
Ils servent les intérêts d'élites mondialisées
On vote pour ceux qui veulent notre mort
Du fond [de leurs] bureaux princiers, ils préparent le monde d'après
On vote pour ceux qui veulent notre mort
Ce que le fracas des armées n'a pu nous arracher
Eux, dans un silence bien feutré, ils osent le brader
Nous, tant qu'on se fait financer notre suicide assisté
On vote pour ceux qui veulent notre mort. -
Où tout ça va nous mener, on préfère pas demander
On vote pour ceux qui veulent notre mort
Ils nous diront quoi penser, ce soir à la télé
On vote pour ceux qui veulent notre mort
On attendra cinq ans de plus pour enfin s'agiter
A leur grand jeu de roulette russe, juste un peu trafiqué
Y a six balles dans le barillet, ça évite de se louper
On vote pour ceux qui veulent notre mort. -
Sur notre tombe ils aimeraient, un jour pouvoir graver
« Ont voté, ils voulaient leur mort »
« Enfin débarrassés, ci-gisent les français »
« Ont voté, ils voulaient leur mort »
Et ils fermeront le cimetière, aboliront le passé
En disant qu'une nouvelle ère s'ouvre à l'humanité
Et qu'ils ont bien respecté notre dernière volonté
« Ont voté, ils voulaient leur mort » -
Et ils fermeront le cimetière, aboliront le passé
En disant qu'une nouvelle ère s'ouvre à l'humanité
Si on continue de signer leur bon pour liquider
On aura mérité notre sort (ter)
Heilo
-
C'est pas le plus grand, c'est le plus beau
Qu'on se le dise à Landerneau
Heilo ! Guilvinec et Concarneau !
Trop fin pour la pêche au gros
Plus dauphin que cachalot
Heilo ! Par tout temps toujours à flot ! -
Je parle pas trop aux alouettes
Je préfère compter sur les mouettes
Heilo ! Lui dire que je serai là bientôt !
Dès que le vent se lèvera
Et poussera au delà de Bréhat
Heilo ! Cap Fréhel et le Guildo ! -
Et quand j'atteindrai le port
Que je la verrai sur le bord
Heilo ! C'est mon cœur qui prendra l'eau...
Son sourire et ses yeux clairs
Me ramèneront sur la terre
Heilo ! Fin de la régate en solo !
A bord d'Heilo
J'ai fait tout le tour de Brest
A bord d'Heilo
C'est la seule joie qu'il me reste
Avec celle qui m'attend à Saint-Malo...
A bord d'Heilo
Je quitterai le tour de Brest
A bord d'Heilo
Vers le seul bonheur qu'il me reste
Celui qui m'attend à Saint-Malo...
A bord d'Heilo
On ira faire le tour de Brest
A bord d'Heilo
On s'aimera le temps qu'il nous reste
Et on jettera l'ancre à Saint-Malo !
Les bonbons
-
Vous venez réclamer des bonbons
Mes pauvres enfants vous tombez mal
Ce soir on est tous dans le salon
A veiller le corps de l'oncle Archibald
Qui nous a quittés pour l'autre monde
Vous venez réclamer des bonbons -
Mais ne restez pas là pétrifiés
Entrez il fait si froid dehors
N'allez donc pas vous enrhumer
N'allez pas attraper la mort
On a bien assez avec Tonton
Vous venez réclamer des bonbons -
Laissez là vos accoutrements
Approchez, ne soyez pas timides
Voyez comme l'oncle est rayonnant
Voyez comme il a l'air paisible
Il faut dire qu'il était si bon
Vous veniez réclamer des bonbons -
Ces perles tout autour de ses doigts
Ce sont les grains de son chapelet
Il disait : « C'est ce qui me conduira
Comme les cailloux du petit Poucet
Au Ciel, dans ma nouvelle maison »
Vous veniez réclamer des bonbons -
Mais il est temps pour vous de rentrer
(Quelle pitié ces accoutrements)
Mes pauvres enfants ce qu'on vous fait faire !
Quel jeu vous font jouer vos parents :
Livrer ainsi vos cœurs aux sorcières
Et votre innocence aux démons !
Et tout ça pour quelques bonbons ! -
Et bonsoir, les garnements !
Reviendrez-vous seulement demain
Et cette fois vêtus comme des anges ?
Reviendrez-vous pour la Toussaint,
Et cette fois chanter des louanges ?
Des chants qui nous consoleront
Et j'aurai peut-être des bonbons...
J'ai dix ans
-
J'ai dix ans
Je sais que c'est pas vrai mais j'ai dix ans
Laissez-moi m'amuser, j'ai dix ans
Ça fait plus de trente ans que j'ai dix ans
Ça parait bizarre mais
Si tu me crois pas, hé
Demande à la prof de français. -
J'ai dix ans
Premier à l'école, séduisant
Pour les premiers rôles, que du vent
De belles paroles, méprisant
Les gens, les casseroles
Si je te plais pas, hé
Va te plaindre à la prof de français. -
J'ai dix ans
Je rêve un jour de faire comme les grands
Qui dirigent la terre, je vois souvent
Des octogénaires gâtouillants
A qui j'essaie de plaire
Si tu me crois pas, hé
Demande à la prof de français. -
J'ai dix ans
J'aime jouer à la guerre, au méchant
Et me siffler des bières, bidonnant
La star des vestiaires, le président
Du pisser en l'air !
Si je te plais pas, hé
Essaye un peu, viens me chercher. -
J'ai dix ans
Je sais que c'est pas vrai mais j'ai dix ans
Laissez-moi m'amuser, j'ai dix ans
Ça fait plus de trente ans que j'ai dix ans
Je te parais bizarre mais
Si je te plais pas, hé
Va te plaindre à la prof de français
Si je te plais pas
Va te plaindre à la prof de français.
Je suis le Mozart de la finance
J'ai composé pour la France
Le requiem pour l'emploi et le pouvoir d'achat
Plus de bras, plus de chocolat !
Bien planqué derrière Mariane
Je suis le roi de la sarbacane
Je fais tirer des boules de gomme dans l'œil des gens
C'est bien fait, ça leur apprend !
La ballade des gens véreux
-
Ils en ont raconté des histoires
Les plus grosses sont celles qui passent le mieux
On vient vous chanter la ballade
La ballade des gens véreux -
Les ministres prenant un air très grave
Annonçaient des temps calamiteux
Pour mieux nous mettre dans leur panade
Leur panade de gens véreux -
Arborant leurs titres et leur grades
Les médecins de plateaux aux revenus douteux
Venaient nous vendre leurs pommades
Leurs pommades de gens véreux -
Les journalistes, pour leurs première page
En quête de titres fabuleux
Reprenaient en chœur les salades
Les salades des gens véreux -
Les partis et syndicats, bien sages,
Ont fermé la bouche et baissé les yeux
Devant les énormes scandales
Les scandales des gens véreux -
La police chassait les châteaux de sable
Et préférait les plages aux banlieues
Pour nous infliger les brimades
Les brimades des gens véreux -
Les Toubiana, les Raoult, les Perronne,
Étaient devenu des gens dangereux
Ils osaient soigner leurs malades
Leurs malades et leurs petits vieux -
Henrion-Caude, Fouché, Wonner et tant d'autres
Ont refusé de renier leur vœu
Ils dénonçaient la mascarade
Mascarade des gens véreux -
Reprenant leurs chiffres formidables
Un Pierre Chaillot les retourna contre eux
Et nous démontra l'enfumage
L'enfumage des gens véreux -
Les véreux ne perdent rien pour attendre
Le jour venu de témoigner contre eux
Nous leur rechanterons la ballade
La ballade des gens véreux
Imposteur gadget
-
C'est moi que voilà ! (Imposteur Gadget !)
Tu me connaissais pas (Ouh, ouh !)
T'as cru les médias ! (T'as été bien bête !)
T'as voté pour moi ! -
Et puis patatra (Imposteur Gadget !)
T'as vu le résultat ?... (Ouh, ouh !)
Bonjour les dégats !... (et bonjour la dette !)
Je suis trop fier de moi ! -
Le virus est là ! (Imposteur Gadget !)
Ça va être la joie ! (Ouh, ouh !)
Une aubaine pour moi (Plus rien ne l'arrête !)
Pour vous mettre au pas ! -
Qui m'appelle là ? (Imposteur Gadget !)
Ursula, c'est toi ?... (Ouh, ouh !)
Mais oui t'inquiètes pas (Te prends pas la tête !)
Notre com' on l'aura ! -
Et puis patatra ! (Imposteur Gadget !)
Le vaccin marche pas ! (Ouh, ouh !)
Pas grave, on remet ça (Ça va être la fête !)
En 2023 ! -
Comme ça suffit pas (Imposteur Gadget !)
Pour tout remettre à plat (Ouh, ouh !)
On a d'autres mantras (et d'autres sornettes !)
Avec le climat ! -
Qui m'appelle là ? (Imposteur Gadget !)
Ursula, c'est toi ?... (Ouh, ouh !)
Mais oui t'inquiètes pas (Te prends pas la tête !)
Notre com' on l'aura ! -
Et puis patatra (Imposteur Gadget !)
Fait pas si chaud que ça (Ouh, ouh !)
Pas grave on trouvera (tu raques, on rackette !)
D'autres taxes d'ici là !!!
Go ! Go ! Gadgeto-match !
Flash ! Gadgeto-photo !
Eh oh ! Gadgeto-cash !
Oh là ! Scandale-à-gogo-gadget !
Go ! Go ! Gadgeto-masque !
Flash ! Gadgeto-museau !
Eh oh ! Gadgeto-pass !
Oh là ! Attesta-gogo-gadget
Go ! Go ! Gadgeto-masque !
Flash ! Gadgeto-labo !
Eh oh ! Gadgeto-vax !
Oh là ! Corona-gogo-gadget !
Go ! Go ! Gadgeto-taxe !
Flash ! Gadgeto-chaos !
Eh oh ! Gadgeto-choc !
Oh là ! Climato-gogo-gadget !
Noël blanc
-
Quand vient le temps de nous souhaiter Joyeux Noël
Rien que le mot leur cause des tourments
Le Ramadan, pas de problème
L'Hanouka, ça passe crême
(Mais) Noël !... (Hou !...) Devient leur cauchemar blanc... -
La crêche affole les constitutionnels
Ils ne peuvent plus sentir les santons
Un âne, un bœuf, un p'tit enfant
Entouré de papa, maman
Noël... Qu'est ce qui les effraye tant ?... -
Peut-être qu'ils tremblent en scrutant le ciel ?
Comme le roi Hérode en son temps
Un pouvoir inique et violent
Qui écrase les innocents
Noël... Agace les tyrans... -
Pour finir, ils ont confié au Père Noël
L'exclusivité de l'événement
Pour endetter un peu plus les parents
Mentir une fois de plus aux enfants
Noël... Attention !... Argent salissant !... -
Il me reste à vous souhaiter Joyeux Noël
Oserai-je dire « Joyeux Noël blanc » ?
Que cette nuit charmante et singulière
Renouvelle en nous le grand mystère...
(Que) Noël... Nous rende nos cœurs d'enfants.
Dis, Manu
-
Dis, Manu, pourquoi te faire appeler le « Mozart de la finance » ?...
Tu n'as su que ruiner la France...
C'était pour vous séduire ! -
Dis, Manu, pourquoi devenir président des français ?...
Tu détestes tout ce que l'on est...
C'est pour mieux tout détruire ! -
Dis, Manu, pourquoi nous traiter de blaireaux
Dès que tu es à l'étranger devant un micro ?...
C'était juste pour la frime ! -
Dis, Manu, pourquoi trahir ainsi,
Brader nos fleurons de l'industrie à tes amis ?...
Là... C'est pour toucher ma prime ! -
Dis, Manu, pourquoi tes mots ne veulent-ils rien dire ?...
Tu sembles toujours perché en plein délire...
C'est l'effet de la farine ! -
Dis, Manu, pourquoi tu as de l'argent pour la cause des autres
Et tu en as jamais pour la nôtre ?...
Je deale, je dilapide ! -
Dis, Manu, pourquoi tu te sens plus
Dès que tu as dans les bras une racaille au torse nu ?...
C'est que la France on la *ique ! -
Dis, Manu, pourquoi chaque fois que l'un de vous se fait élire
Pour nous c'est du pareil au pire ?...
C'est ça la république !
Je t'en pose, moi, des questions ? Je t'emm...bête
Toi et tous les gueux indigents
Dans l'histoire c'est toi le con, je t'emm...bête
Fallait pas m'élire président !
Je t'en pose, moi, des questions ? Je t'emm...bête
Toi et tous les gueux indigents
Dans l'histoire c'est toi le con, je t'emm...bête
Fallait pas m'élire président !
Fallait y penser, je vous emm...bête
Toi et tous les gueux pas contents
Venez me chercher, je vous emm...bête
Et merci de m'avoir fait président !
Rends-nous les clés
-
Rends-nous les clés
Comment ça se fait ?
C'est plus toi qui les as ?...
Ha, ha...
A l'Élysée, dans ce cas dis-moi
Tu sers à quoi ?...
(na, na, na, ...)
Mais t'en fais pas, on t'arrange ça
On t'emmène avec nous
A Bruxelles !
Une fois là-bas, tu les reprendras
A Ursula ! -
Rends-nous les clés
On ne t'a jamais
Dis que c'était pour offrir
Ha, ha...
Ni pavoiser dans vos dîners
Ni pour trahir
(na, na, na, ...)
On a soupé de vos traités
Qui ne font que nourrir
Vos chimères
Tu trouveras d'autres cadeaux à faire
A Ursula ! -
Rends-nous les clés
C'est pas un jouet
T' as pas l'air de saisir
Ha, ha...
C'est un destin qu'on reprend en main
Pour pas mourir
(na, na, na, ...)
C'est un espoir dans le regard
Qu'attendent en rentrant
Ceux qu'on aime
Tu comprendras le jour où t'auras
Des enfants ! -
Pauvre France
Tu veux enterrer ce beau pays
Qui nous a donné le jour !
Pauvre France !
Que tu laisses crever
Sous les papiers
De Bruxelles et Strasbourg...
Na, na, na, ... -
Rends-nous les clés
Ah mais c'est vrai !
C'est plus toi qui les as !
Na, na, na, ...
Na, na, na, ...
On est bien placés, nous on sait
Qu'on récolte toujours
Ce qu'on sème
Le jour des comptes viendra pour toi
Et Ursula ! -
Rends-nous les clés
Assez causé
Il est temps de partir
Ha, ha...
Prends ton duvet, un oreiller
Ça peut servir
(na, na, na, ...)
Pour lui annoncer
Qu'on va passer
Lui reprendre le trousseau
A Bruxelles
On enverra un SMS
A Ursula !
Voir la France pleurer
-
Bien-sûr les longues marches blanches
Feront du drame une occasion
De nous prêcher la résilience
D'instaurer la résignation.
Bien-sûr, les minutes d'un silence
Assourdissant de lâcheté
Pour solenniser l'impuissance
Et laisser la France pleurer. -
Bien-sûr, les discours, les hommages
A celui qui vient de tomber
Sous des cris et coups d'un autre âge
Héros d'un jour, victime à jamais.
Eût-il reçu tant de louanges
S'il eût pu vaincre le forcené ?
(Non…) Ç'eût été défier ceux qu'arrange
De laisser la France trembler. -
Bien-sûr ils entendent la détresse
Comme le lointain bêlement
Du troupeau que le soir on laisse
A la merci des chiens errants.
Ils ricannent de notre peur même
Comme d'un sentiment fantasmé
Juste nous garder des extrêmes
Et laisser la France sombrer. -
Bien-sûr ils déplorent la perte
D'un vieillard, ou même d'un enfant
Quand déjà tant de lois perpètrent
Le sourd et lent effacement.
Que les emporte la vengeance
D'un destin trop longtemps bafoué
Et que face à leur arrogance
On voie la France se relever.
File à Matignon, Gaby
-
Brigitte t'a choisi
Te voici investi
Nouveau chef du gouvernement
Cette fois ce sera plus long
Que tes précédentes missions
Je compte pas te céder ma place avant trois ans. -
Avec toi Gabriel
Un bel arc-en-ciel
Flottera sur nos jours et nos nuits
Dans le train du bonheur
A toute vapeur
Tu conduiras les grands et les petits. -
Pour réarmer demain
On est main dans la main
Ce qu'on doit relancer avant tout
C'est la natalité
Et même si on est mal placés
Faudra dire aux français d'en mettre un coup.
File à Matignon Gaby
T'auras l'Élysée si t'es gentil
Si tu sais séduire les cœurs
Compatir aux malheurs
Que l'on a nous-même produits
Finie la vie ralentie
Par tous les freins de la démocratie
Avec toi faut qu'on accélère
Pour finir de mettre par terre
Ce qui reste debout dans le pays.
File à Matignon Gaby
T'auras l'Élysée si t'es gentil
Si tu sais calmer les ardeurs
Des gueux sur leurs tracteurs
En disant que tu les as compris
File au plus vite à Rungis
Lire le poème qu'on leur a écrit
Et promettre, la main sur le cœur,
De défendre leurs valeurs
Sur lesquelles ont s'est tous assis.
File à Matignon Gaby
T'auras l'Élysée si t'es gentil
Si tu sais avec l'air sincère
Dire tout et son contraire
En bon macroniste accompli
Finie la vie ralentie
Et tant pis pour la démocratie
Tous les deux on fera un malheur
En bons Global Leaders
Tant qu'ils nous laissent faire, allons-y.
Oh, mon Bruno !
-
Sur la route qui nous mène
Dans le monde et ses problèmes
Il luit...
Comme une étoile splendide
Qui du haut du firmament
Répand sur nous les subsides
Que rembourseront nos enfants
Contents !... -
Pour nous sortir de la crise
Ses manières sont exquises
Il suffit qu'il le demande
S'il décroche son téléphone
Pour dire qu'il n'est pas content
Rothschild et même Al Capone
Viennent lui rendre l'argent
Sur le champ !... -
C'est un fabuleux stratège
Qui seul peut mettre à genoux
L'ennemi qui nous assiège
De Shangaï et de Moscou
D'un coup !... -
Et malgré toutes ses charges
Il trouve le temps et le courage
De s'adonner à l'écriture
Quand il décrit la nature
De sa plume de velours
Sa poésie est si pure
Il mériterait le Goncourt
C'est sûr (« sour ») !...
[Refrain]
Oh, mon Bruno !
Tu es le plus grand, mon Bruno !
Pour buller dans ton bureau
Et dilapider nos impôts
Tu es le plus grand, mon Bruno !
[Refrain]
Oh, mon Bruno !
Tu es le plus grand, mon Bruno !
Pour buller dans ton bureau
Et dilapider nos impôts
Tu es le plus grand, mon Bruno !
[Refrain]
Oh, mon Bruno !
Tu es le plus grand, mon Bruno !
Pour buller dans ton bureau
Et dilapider nos impôts
Tu es le plus grand, mon Bruno !
[Refrain]
Oh, mon Bruno !
Tu es le plus grand, mon Bruno !
Pour buller dans ton bureau
Et dilapider nos impôts
Tu es le plus grand, mon Bruno !
Si vous votez bien tous Hayer
-
Le Président lui a demandé
En responsabilité
De prendre une tôle aux élections
Pour lui, les autres...
Ont dit non ! -
C'est la femme de l'évènement
La coupez pas comme ça tout le temps
Elle donne renaissance à la France
Sous x et dans...
L'allégeance... -
D'accord, elle ne sait rien faire
C'est bien pour ça qu'elle préfère
Confier l'avenir du pays
A l'Europe, aux États-Unis
Sans eux on ne gagnait pas la guerre
Contre le virus, ils sont fiers
D'avoir pu tous nous entuber
Pardon... Je voulais dire vacciner
Ils nous protègeront des migrants
En surveillant tout le monde tout le temps
Au moins, une fois que le mal est fait
On sait qui on doit interner
Mais il y a plus grave comme danger
La France doit d'abord affronter
Ces Français voulant le rester
C'est assez cocasse... Oui, je sais... -
La vie est belle sur le papier
De leurs contrats, de leurs traités
Mais nous, on est à ce point mesquins
Qu'on ne pense qu'à notre...
Quotidien... -
Si leur machin ne marche pas bien
C'est qu'on ne le pousse pas assez loin
Et on va tout droit dans le mur
Si on n'accélère pas l'allure
Si on n'ouvre pas mieux notre espace
A tous les loups, tous les rapaces
De la finance et des marchés
Ils iront ailleurs se gaver
La mafia d'Ukraine est moins
Pire que celle des russes et de loin
Dans le camp du bien d'aujourd'hui
Y a de la place même pour les na*is
Ils nous fourniront en bébés
Et en organes bon marché
Avec des remises de tarés
Pour Noël et le Black Friday
On cuira le poulet ukrainien
Au gaz de schiste américain
En attendant le bœuf hormoné
Et les escalopes de criquet
Nos vaches seront plus bonnes qu'à péter
Dans un tuyau pour faire tourner
Le champ d'éoliennes d'à côté
Le vent, ça, ils savent le brasser !...
Sautez comme moi !
- Avec les têtes que vous faites Du fond de vos chaises à roulettes Vous allez plomber la fête Le monde entier nous regarde, sautez comme moi ! Sauter comme toi ?... Mais nous on peut pas ! (Okay, tant pis pour vous) Et nous on n'est pas... ridicule comme toi ! (O...kay...)
- Ceux qu'ont trempé dans la Seine Sont dispensés pour l'hygiène Gardez-vous votre gangrène Les autres tous derrière moi, sautez comme moi ! Mais tu comprends pas : sauter on peut pas ! (Okay, tant pis pour vous) Et nous on n'est pas... ridicule comme toi ! (Ah d'accord ouais...)
- Si vous ne bougez pas vos pattes Je viens vous prendre par la cravate Je vais vous redonner la patate Regardez-moi tous, allez, sautez comme moi ! Mais t'es bête ou quoi ? On te dit qu'on peut pas ! (Okay, tant pis pour vous) Et nous on n'est pas... ridicule comme toi ! (Oook...kééééé...)
- Même la garde républicaine S'était donné plus de peine Pour soigner sa mise en scène Le ridicule ne tue pas, sautez comme moi ! T'es sadique ou quoi, de nous demander ça ? (Okay, tant pis pour vous) Et nous on n'est pas... ridicule comme toi ! (Oui... Peut-être...)
Saut', saut', sautez les gars, sautez comme moi ! Saut', saut', sautez les gars, juste là comme ça ! Un, deux, trois, hé, les gars, faites comme moi ! Qui ne saute pas n'aura... Pas de chocolat !
Saut', saut', sautez les gars, sautez comme moi ! Saut', saut', sautez les gars, restez pas comme ça ! Un, deux, trois, hé, les gars, faites comme moi ! Qui ne saute pas n'aura... Pas de chocolat !
Saut', saut', sautez les gars, sautez comme moi ! Saut', saut', sautez les gars, juste là comme ça ! Un, deux, trois, hé, les gars, faites comme moi ! Qui ne saute pas n'aura... Pas de chocolat !
Saut', saut', sautez les gars, sautez comme moi ! Saut', saut', sautez les gars, restez pas comme ça ! Un, deux, trois, hé, les gars, faites comme moi ! Qui ne saute pas n'aura... Pas de chocolat !
Saut', saut', sautez les gars, sautez comme moi ! Saut', saut', sautez les gars, juste là comme ça ! Saut', saut', sautez les gars !!!
Pas de bougie-bougie !
-
Macron a dû revoir son discours
Et se résigner à le dire sur le palier...
Mais, je le connais,
Il va quand-même vouloir passer...
Pour le sauveur...
De l'humanité... -
En tant qu'Archevêque de Paris
Je me dois d'alerter l'opinion
Et rappeler que la cérémonie
N'est pas faite à la gloire de Macron
Qui nous aura bien brisé menu
Les pieds dans toutes les réunions
Pour avoir ses vitraux, pourquoi pas sa statue ?
Et, tant qu'on y est, le Bon Dieu sans confession ???
Non !… -
Et si ça c'est pas de l'indécence :
L'artisan de la démolition
Qui se la joue pour la circonstance
Apôtre de la reconstruction !
Ne voyez-vous pas que « Jupiter »
Nous prépare un enfer sur la terre ?
Je reprends pour ceux qui n'auraient pas compris
Mon sermon des bougies-bougies...
Bon !… -
Maintenant que je vous ai avertis
Il ne reste plus qu'à souhaiter que samedi
L'autre ne nous fasse pas trop son Macron
Sinon j'ai prévu la solution
Si des cornes lui poussent sur la tête
Qu'il nous ressort son couplet sur la bête
Je pourrai lui redire en l'aspergeant d'eau bénite
Mon sermon des bougies-bougies !
[Refrain]
Mes biens chers frères, mes biens chères sœurs
Reprenez avec moi tous en chœur !
Pas de bougie-bougie en l'honneur de Macron samedi soir !
N'allumez pas de bougie-bougie
en l'honneur de Macron samedi soir !
Ne l'écoutez pas, ce séducteur professionnel
Veut nous entraîner dans sa chute éternelle !
Non, pas de bougie-bougie pour Macron ce samedi soir !
[Refrain]
Mes biens chers frères, mes biens chères sœurs
Reprenez avec moi tous en chœur !
Pas de bougie-bougie en l'honneur de Macron samedi soir !
N'allumez pas de bougie-bougie
en l'honneur de Macron samedi soir !
Ne l'écoutez pas, ce séducteur professionnel
Veut nous entraîner dans sa chute éternelle !
Non, pas de bougie-bougie pour Macron ce samedi soir !
[Refrain]
Mes biens chers frères, mes biens chères sœurs
Reprenez avec moi tous en chœur !
Pas de bougie-bougie en l'honneur de Macron samedi soir !
N'allumez pas de bougie-bougie
en l'honneur de Macron samedi soir !
Ne l'écoutez pas, ce séducteur professionnel
Veut nous entraîner dans sa chute éternelle !
Non, pas de bougie-bougie pour Macron ce samedi soir !
Qu'il aille la faire sa guerre tout seul
-
Qu'il aille la faire sa guerre tout seul
Qu'il prenne ses gants de boxe et son polo
Et qu'il aille se les manger les pruneaux
Ouh, qu'il aille la faire sa guerre tout seul -
Qu'il aille la faire sa guerre tout seul
Qu'il grimpe sur la bête de l'évènement
Et qu'il aille bien se faire cuire le fondement
Ouh, qu'il aille la faire sa guerre tout seul -
Qu'il aille voir ce que ça fait tout seul
De prendre sur le coin de la gueule pour bernique
Un amour de missile hypersonique
Ouh, qu'il aille voir ce que ça fait tout seul
Et qu'il coure au milieu des tranchées
Qu'il coure, on ira tous liker
Sur ses comptes Instagram, Facebook et Twitter
Tous les selfies de lui et sa tête de vainqueur
Qu'il assume, sume, sume, son magnifique projet
Et ils courent, avant que Trump n'ait sonné
Ils courent, la fin de la récré
Les Biden, Soros, les Schwab, Gates et Pfizer
Les faucons et Leyen, trafiquants de malheur
Ils s'agitent, gitent, gitent
Pour vite tout faire exploser
Compagnons de la coupe est pleine
-
Qu'est-ce qui passe ici si tard ?
Compagnons de la coupe est pleine,
Qu'est-ce qui passe ici si tard ?
Gai, gai, dessus le quai. -
C'est le bouffon du palais,
Compagnons de la coupe est pleine,
C'est le bouffon du palais,
Gai, gai, dessus le quai. -
Que demande le choupinet ?
Compagnons de la coupe est pleine,
Que demande le choupinet ?
Gai, gai, dessus le quai. -
Dit qu'il veut nous encrotter,
Compagnons de la coupe est pleine,
Dit qu'il veut nous encrotter,
Gai, gai, dessus le quai. -
L'envie la lui ferons passer,
Compagnons de la coupe est pleine,
L'envie la lui ferons passer,
Gai, gai, dessus le quai. -
Dit qu'il est fier de son fait,
Compagnons de la coupe est pleine,
Dit qu'il est fier de son fait,
Gai, gai, dessus le quai. -
Lui ferons gorge rentrer (rendre),
Compagnons de la coupe est pleine,
Lui ferons gorge rentrer,
Gai, gai, dessus le quai. -
Dit que veniez le chercher,
Compagnons de la coupe est pleine,
Dit que veniez le chercher,
Gai, gai, dessus le quai. -
Irons le prendre au collet,
Compagnons de la coupe est pleine,
Irons le prendre au collet,
Gai, gai, dessus le quai. -
Que ferez-vous du paltoquet ?
Compagnons de la coupe est pleine,
Que ferez-vous du paltoquet ?
Gai, gai, dessus le quai. -
Chose que onques (jamais) n'aura goûtée,
Compagnons de la coupe est pleine,
Chose que onques n'aura goûtée,
Gai, gai, dessus le quai. -
Soufflet lors a essuyé,
Compagnons de la coupe est pleine,
Soufflet lors a essuyé,
Gai, gai, dessus le quai. -
Mais ce n'était 'cor (encore) assez,
Compagnons de la coupe est pleine,
Mais ce n'était 'cor assez,
Gai, gai, dessus le quai. -
Peine neuve (nouvelle) devrez trouver,
Compagnons de la coupe est pleine,
Peine neuve devrez trouver,
Gai, gai, dessus le quai. -
Allons lui le jonc peler,
Compagnons de la coupe est pleine,
Allons lui le jonc peler,
Gai, gai, dessus le quai. -
Tel attentat vous n'oserez,
Compagnons de la coupe est pleine,
Tel attentat vous n'oserez,
Gai, gai, dessus le quai. -
N'escomptons point nous gêner,
Compagnons de la coupe est pleine,
N'escomptons point nous gêner,
Gai, gai, dessus le quai. -
Dit que se plaindre il irait,
Compagnons de la coupe est pleine,
Dit que se plaindre il irait,
Gai, gai, dessus le quai. -
De se repentir mieux ferait,
Compagnons de la coupe est pleine,
De se repentir mieux ferait,
Gai, gai, dessus le quai. -
En moustier (monastère) se retirer,
Compagnons de la coupe est pleine,
Et tous ses péchés pleurer,
Gai, gai, dessus le quai.
Bois un godet !
-
Je vois bien que t'es en colère, mais ça sert à quoi
De te mettre dans un tel état ?
Tout ça parce que je ne suis pas d'accord avec toi
Et que je te propose un verre d'eau... -
Tu m'accuses de glisser, rien que pour t'embêter
Mes clichés sur ta féminité
Mais moi je crois que t'essaies surtout de me coller
Tes problèmes d'ego sur le dos, oh oh ! -
Tu cèdes au désespoir, tu broies du noir
Enfin... Juste une expression, pas d'histoire !
Si l'eau ne te convient pas, t'inquiète, j'arrange ça :
Je vais y ajouter du sirop, oh oh ! -
Je suis gentil de te verser
Un grand verre d'eau, quand ça va mal
Un grand verre d'eau, quand ça va mal
Y a pas mieux pour le moral !
Bois un godet, faut pas t'énerver
Bois un godet bien frais
Bois un godet d'eau, ça va passer
Bois un godet bien frais
(Écoute chanter les oiseaux...)
(C'est beau !...)
Bois un godet, faut pas t'énerver
Bois un godet bien frais
Bois un godet d'eau, ça va passer
Bois un godet bien frais
Bois un godet, va pas le renverser
Bois un godet bien frais
Bois un godet, faut pas t'énerver
Bois un godet bien frais
Bois un godet d'eau, ça va passer
Bois un godet bien frais
Bois un godet, va pas t'étouffer
Bois un godet bien frais !
Bois un godet bien frais !
Ne jetez pas l'eau propre !
-
A l'Assemblée aujourd'hui, comme tous les mardis
C'était le grand moment des questions au gouvernement
Les quelques députés présents ont eu ce coup-ci
Droit au discours de la ministre des enfants -
Nous nous sommes tous regardés un temps, désappointés,
Quelque chose nous avait visiblement échappé
Jusqu'à ce qu'un de nous se leva pour lui demander
De reprendre sa tirade sur le bébé -
La séance une fois levée, comme à l'accoutumée,
Nous nous sommes retrouvés au bar de l'Assemblée
Lorsque le serveur distrait renversa le pichet,
Tout le monde en chœur se mit à lui chanter :
[Refrain]
Non, ne jetez pas l'eau propre de bébé dans le bain
Ce serait l'étincelle qui fait déborder le bassin
Y a pas de quoi couper en trois les cheveux d'un canard
Ni lancer de l'huile sur le pavé dans la mare
Mais comme on dit les crapauds auront beau aboyer
Ils n'empêcheront pas la blanche colombe de passer
Voyez-vous je ne suis pas née du dernier parapluie
Tant va la cruche, allô quoi, ça suffit !
[Refrain]
Non, ne jetez pas l'eau propre de bébé dans le bain
Ce serait l'étincelle qui fait déborder le bassin
Y a pas de quoi couper en trois les cheveux d'un canard
Ni lancer de l'huile sur le pavé dans la mare
Mais comme on dit les crapauds auront beau aboyer
Ils n'empêcheront pas la blanche colombe de passer
Voyez-vous je ne suis pas née du dernier parapluie
Mesdames et Messieurs, voilà, j'ai fini !...
[Refrain]
Non, ne jetez pas l'eau propre de bébé dans le bain
Ce serait l'étincelle qui fait déborder le bassin
Y a pas de quoi couper en trois les cheveux d'un canard
Ni lancer de l'huile sur le pavé dans la mare
Mais comme on dit les crapauds auront beau aboyer
Ils n'empêcheront pas la blanche colombe de passer
Voyez-vous je ne suis pas née du dernier parapluie
Tant va la cruche, allô quoi, ça suffit !
[Refrain]
Non, ne jetez pas l'eau propre de bébé dans le bain
Ce serait l'étincelle qui fait déborder le bassin
Y a pas de quoi couper en trois les cheveux d'un canard
Ni lancer de l'huile sur le pavé dans la mare
Mais comme on dit les crapauds auront beau aboyer
Ils n'empêcheront pas la blanche colombe de passer
Voyez-vous je ne suis pas née du dernier parapluie
Mesdames et Messieurs, voilà, j'ai fini !...
Un milliard, c'est cher !
-
Elle rêvait depuis longtemps
De tremper son séant
Dans une eau cristalline
Délivrée des toxines
Nouveau prodige, sans doute,
De leur « Quoiqu'il en coûte »... -
Elle a fait attention
De ne pas boire au bouillon
Ses dents sont restées blanches
Dans son sourire étanche
D'autres n'eurent pas sa chance
Et finirent aux urgences -
Bien-sûr les rabat-joie
Y vont de leurs « gna-gna-gna »
Disant « Tant de dépenses
Pour quelle différence ?
Au lieu des colombins
Voir flotter Colombine... » -
Au musée, on ira
Contempler, toi et moi
Son maillot admirable
Relique vénérable
De sa victoire épique
Sur les fosses sceptiques -
Mais l'histoire retiendra
Le destin est ingrat
Qu'une loutre mesquine
Aux petits cris de fouine
Lui vola la vedette
De la première trempette
[Refrain]
Un milliard, c'est cher
Juste pour baigner la maire
Un milliard, c'est cher
Sauf pour Bruno Le Maire
[Refrain]
Un milliard, c'est cher
Juste pour baigner la maire
Un milliard, c'est cher
Sauf pour Bruno Le Maire
[Refrain]
Un milliard, c'est cher
Juste pour baigner la maire
Un milliard, c'est cher
Sauf pour Bruno Le Maire
[Refrain]
Un milliard, c'est cher
Juste pour baigner la maire
Un milliard, c'est cher
Sauf pour Bruno Le Maire
[Refrain]
Un milliard, c'est cher
Juste pour baigner la maire
Un milliard, c'est cher
Sauf pour Bruno Le Maire
La vie en rose
-
L'ont-t-ils donc choisie pour sa voix ?...
Ou bien la couleur de sa peau ?...
A moins, simplement, qu'elle ne soit...
Tombée dans un énorme panneau ?... -
Des tableaux beaux... À en vomir...
D'une France qu'ils aimeraient voir mourir
Sous leurs gros sabots de satyres
Blasphémant sans même oser le dire...
Quand la pauvre Nakamura
Chantait son charabia
Bonjour la mise en scène...
Déjà que, notre langue, elle la parle pas
Lui mettre la honte comme ça
Devant l'Académie Française...
Oui !... Joli, le délit de faciès
Quand ils lui collent aux fesses
La Garde Républicaine !...
Moi je dis que tout ça
Sent trop la pub pour Banania
Le petit clin d'œil au « temps béni des colonies »
Alors, vous, je sais pas, mais moi,
Si c'est ça, je ne cautionne pas,
Ce sera sans moi !...
Quand je vois Nakamura
Emplumée comme une oie
Moi je pense au coq Maurice
Qu'on voulait pour bien moins que ça
Faire taire si ça c'est pas
Une criante injustice !
Lui savait chanter l'amour
A chaque heure du jour
Des poules et de la Patrie
Et moi pour lui,
Je l'ai promis, Maurice, toute ma vie
Je me battrai pour qu'on le panthéonise !
Alors, vous, je sais pas, mais moi,
Tout le reste ne m'intéresse pas,
Ce sera sans moi !
Alors, vous, je sais pas, mais moi,
Tout le reste ne m'intéresse pas,
Ce sera sans moi !
Oh ! Hé ! Hein ? Bon !...
-
C'est pas sorcier de piger
Les règles de notre société !
Pourquoi tout le temps, y a des gens
Qui remettent en cause les fondements ?
Pour ceux dans le fond,
Qui se posent bien trop de questions,
Je vais reprendre la chanson ! -
La liberté, c'est d'acheter
Sur Amazon et eBay,
De dépenser sans compter
Toutes ses indemnités
Et de voter (est-il besoin de le rappeler ?)
Pour Guignol ou son cadet ! -
C'est fantastique, magnifique,
Dans notre Sainte République,
Plus de rois méchants, fainéants,
Ne vivant que pour l'argent !
C'est mieux maintenant :
Les membres du gouvernement
Donnent des nouilles à leurs enfants ! -
Grâce à la science, sans conscience,
Les finances et la croissance,
Finies les guerres, la misère,
C'est le paradis sur terre !
Et te tracasse pas,
Si ça va pas, big pharma
Fournit le prozac et le viagra ! -
Faut pas fumer, c'est très laid,
C'est écrit sur le paquet !
C'est embêtant pour l'enfant
Dans le ventre de sa maman !
Si tu le gardes pas, là... ça va :
Ton p'tit gars n'est qu'une boule de gras ! -
Et pour Mémé qui se plaignait
D'arthrose et de cors aux pieds,
Tant de souffrances, et de dépenses !
Dejà qu'il y a plus de place aux urgences !
Mémé, c'est bon : je me charge de la succession,
Toi, tu t'allonges dans le caisson !
Oh ! Hé ! Hein ? Bon !...
Oh ! Hé ! Hein ? Bon !...
Oh ! Hé ! Hein ? Bon !...
Oh ! Hé ! Hein ? Bon !...
Oh ! Hé ! Hein ? Bon !...
Oh ! Hé ! Hein ? Bon !...
Oh ! Hé ! Hein ? Bon !...
Tu parles trop
-
Tu parles trop, tu dis du soir au matin
Les mêmes mots, toujours les mêmes refrains -
Ça se voit trop, tu nous prends pour des crétins
Et le plus beau, c'est que tu te crois malin -
Tu écoules l'info, en sachets de Perlimpinpin
Tu fais ce boulot comme d'autres font le tapin -
Tu es le bon chien-chien de garde pour le système
Qui remplit si bien de croquettes ta gamelle -
La France qui meurt, pour toi c'est qu'un fait divers
Tu regardes ailleurs, « pas de quoi en faire une affaire » -
Tu invites des gens, pour leur poser des questions
Mais on n'entend, que toi et tes insinuations : -
Le point Godwin, c'est ta dernière munition
Là on devine : tu as plus rien dans les cartons -
Comme on ne croit plus aucun de tes traîtres mots
Tu pleures et tu accuses Musk et les réseaux sociaux -
Tu parles trop, tu dis du soir au matin
Les mêmes mots, toujours les mêmes refrains
Tu fais : « Bla... bla... bla... »
Dans ton micro
Quand tu fais : « Bla... bla... bla... »
Dans ton micro
Toi tu fais : « Bla... bla... bla... »
Dans ton micro
Tu fais : « Ouaf... ouaf... ouaf... »
Dans ton micro
Tu fais : « Bla... bla... bla... »
Dans ton micro
« Bla... bla... bla... »
Dans ton micro
Tu fais : « Beuh... beuh... beuh... »
Dans ton micro
Tu fais : « Ouin... ouin... ouin... »
Dans ton micro
Quand tu fais : « Bla... bla... bla... »
J'éteins la radio !